PROVINCIALE 4E BRABANT WALLON/BRUXELLE-CAPITALE – Forfait d’entrée pour Red Y Boitsfort

La saison a mal débuté pour le club de Red Y Boitsfort qui a été contraint de déclarer forfait pour son premier match de championnat en P4E du Brabant Wallon/Bruxelles-Capitale.  «Nous devions recevoir Oasis Forest», explique le correspondant qualifié David Godinho. «Seulement quatre éléments pouvaient être présents et cela aurait suffi pour quand même entamer la partie. Le souci, c’est que notre nouveau gardien qui devait faire partie de ce quatuor nous a lâchés. A trois, pas possible de commencer. D’où ce forfait.»

Le premier tour risque d’être difficile. «Nous avions déjà hésité à poursuivre suite à quelques départs dont notre ancien gardien qui partait habiter à la frontière française. Finalement en dénichant notre nouveau portier, nous avions quand même décidé de continuer l’aventure. Mais nous voilà revenus à la case départ. Nous avons un gardien en vue mais affilié dans un autre club où il ne jouera pas, nous ne pourrons pas compter sur lui avant décembre via une mutation. Si bien que durant neuf matchs, on devra jouer dans la cage avec un joueur de champ.»

Le but sera de tenir du mieux possible jusque-là. «On avait fini 8e la saison dernière mais deux équipes avaient déclaré forfait général. Cela va être compliqué de faire aussi bien.»

READY POUR LE 20 SEPTEMBRE…

Le club vient d’entrer dans sa quinzième année d’existence. «Il a été lancé en 2007 et je ne suis arrivé que deux ans plus tard. Trois pionniers sont encore affiliés: William Esselen, Philippe Boniface et Sébastien Buhl. Pour raisons professionnelles, ils vivent désormais à l’étranger. C’est la raison pour laquelle j’ai repris le poste de C.Q en succédant à Sébastien Buhl. Quant à notre dénomination, le «y» ne représente rien. C’est pour le petit jeu de mot avec Red Y qui sonne comme ready (ndlr: prêt) en anglais.»

Le prochain match de Red Y Boitsfort est fixé au 20 septembre contre Futsal Evere 2. De quoi retrouver des forces vives pour enfin fouler officiellement le terrain.

NICOLAS TOUSSAINT