NATIONALE 2B – Rony Michiels coachera Mini Excel Wavre-Limal

Comme à son habitude lors des dernières saisons, le Mini Excel Wavre-Limal a terminé lors de cette défunte campagne écourtée dans le top 5 (et même quatrième) de la Nationale 2B de l’A.B.F.S. L’équipe d’ Yves Lauwers (C.Q.) y semble abonné. «On garde notre esprit de famille et cela nous permet de rester chaque saison au contact des meilleurs», se réjouit l’un des piliers du «Mini Excel», Clément Moor.

Pourtant, les Wavriens ont dû faire face à un imprévu. «Notre gardien, Christophe Splingaire, a décidé soudainement d’arrêter en cours de championnat. On a donc fait appel à Jérémy Lefebvre pour continuer à défendre la cage. Il poursuivra lors de la prochaine campagne et pour amener une saine concurrence, nous pourrons compter aussi sur Robin Flémal, notre ancien portier, qui va s’y remettre.»

Une arrivée est aussi actée parmi les joueurs de champ. «Maxime Torrekens du MSG Ernage (13e en N3B) sera des nôtres. Hormis cela, l’effectif ne connaîtra pas de réels chamboulements. Il y a juste une incertitude qui plane toujours concernant Nasraddine Gasmi. Vu son talent, il est lors de chaque fin de saison sollicité. Jusqu’à présent, il a toujours rempilé. On espère qu’il en fera de même.»

PAS DE RAPPROCHEMENT AVEC ARENA TPM WAVRE

On note toutefois la présence d’un coach. «Jusqu’à présent, c’était plutôt de l’autogestion entre joueurs qu’autre chose. Cette fois, Ronald «Rony» Michiels (NDLR: vainqueur de la Coupe de Belgique en 2007 comme capitaine du MF Namur, alors en D1 de l’A.B.F.S.) va officiellement prendre la casquette. Il a une sacrée expérience dans le milieu qu’il partage avec nous depuis 2016. Il saura prendre des décisions. Ce qui était beaucoup plus compliqué à faire entre joueurs qui sont avant tout des amis. Cela nous permettra, peut-être, de passer un petit cap supplémentaire. Et même âgé de 48 ans, il pourrait toujours nous dépanner sur le terrain en cas de besoin.»

Enfin, il n’y aura pas de rapprochement avec Arena TPM Wavre, relégué en D3. «Il est vrai que l’on jouait dans la même salle et qu’il y a eu quelques contacts, mais cela n’a finalement pas été très loin.»

NICOLAS TOUSSAINT