PROVINCIALE P3E BRABANT WALLON/BRUXELLES-CAPITALE – Sporting UTD Rhode Saint-Genèse a répondu présent

Le club du Sporting UTD Rhode-Saint-Genèse qui a abandonné sa seconde formation de P4 pour tout miser sur l’équipe fanion ne le regrette pas. En effet, il s’est adjugé le titre de la P3E du «Brabant Wallon/Bruxelle-Capitale». «Et c’était franchement le but recherché», avoue la présidente, Laure Lavenne. «Lors de la précédente saison raccourcie en raison de la crise sanitaire, nous avions été déçus d’avoir manqué le coche. Nous nous étions donc remobilisés totalement pour cette fois espérer, avec en tête mon beau-frère Steve Steennot qui est aussi le président, aller au bout des choses.»

Et l’équipe est ainsi parvenue à atteindre son l’objectif, même si elle a perdu son dernier match sur un score de forfait à Proxima Centauri Bruxelles 2. «Mais nous avions fait le nécessaire pour être hors d’atteinte lors de la rencontre précédente. En l’emportant le 10 mai contre New Team Ganshoren, plus rien ne pouvait nous arriver. Cela a malgré tout été souvent serré avec nos concurrents directs tout au long du championnat. C’est vraiment sur la toute fin que nous sommes arrivés à émerger.»

UNE PREMIERE EN P2

Comme souvent, c’est le collectif qui est à mettre en avant dans ce club très familial. Mais l’on peut quand même citer deux éléments qui se sont montrés un peu plus précieux. «Sur ce coup, mon époux qui est aussi joueur du noyau et qui a évolué jusqu’en P1 me souffle Jonathan Schoonyans pour sa superbe mentalité affichée et aussi Kevin Verschueren qui a été le plus régulier de tous au niveau des présences. On peut toutefois parler d’un noyau hyper soudé.» 

Résultat: le Sporting UTD Rhode Saint-Genèse rejoindra pour la toute première fois la P2. «Nous avons tous le désir de poursuivre ensemble tout en étant conscients que pour ce niveau, il faudra un minimum se renforcer pour au minimum ne pas faire l’ascenseur. Ce sera quasi pour tous une nouvelle expérience. On visera a rapidement s’acclimater à notre nouvel environnement.»

NICOLAS TOUSSAINT