PROVINCIALE 5C BRABANT WALLON/BRUXELLES-CAPITALE – ITX Tubize pense ne jamais aller plus haut

On joue pour le simple plaisir de se retrouver au sein du club d’ITX Tubize, cercle fondé entre amis en 2018 et qui milite depuis toujours en P5 du «Brabant Wallon/Bruxelles-Capitale». «Nous jouions pour la plupart au football et nous nous connaissions aussi surtout via le mouvement scout de Braine-l’Alleud», explique Christophe Stella le président, l’un des instigateurs. «Suite à nos carrières dans le milieu professionnel, la pratique du ballon rond sur terrain en herbe devenait de plus compliquée. Nous voulions, malgré tout, continuer à jouer ensemble. Le football en salle demandant moins de contraintes, notamment au niveau des entraînements, nous avons opté pour ce sport. Bien que nous provenons de Braine-l’Alleud ou Nivelles, on a déniché la salle de Tubize que nous occupons toujours vu que l’on s’y sent bien. On a choisi aussi de jouer à domicile le vendredi pour pouvoir prolonger tranquillement la soirée après un match.»

EVITER LA DERNIERE PLACE

On l’a bien compris: la performance n’est pas recherchée à tout prix. «Certains ne possèdent pas encore complètement toutes les bases mais ce n’est pas grave. On tente de progresser chacun à son rythme. Nous avons, jusqu’à présent, disputé deux rencontres. Elles se sont soldées par des défaites à Chico Braine (6-1) et contre Urban Lion Ittre (1-5). Comme j’étais toujours en vacances, je n’ai pu participer à ces joutes. Nous n’avons, apparemment, pas démérité pourtant contre Ittre. C’était toujours 1-1 au repos. Nous avons ensuite craqué physiquement. Il nous manque soit un joueur capable de faire la différence ou alors un collectif qui aurait l’occasion de plus s’entraîner. Mais qu’il y ait victoire ou défaite, la bonne humeur règne toujours en maître.»

On ne cherche donc pas à essayer de rejoindre l’étage supérieur. «Je pense que nous n’irons jamais plus haut et ce n’est pas un problème. Néanmoins, on espère que l’on pourra engranger de temps en temps et ainsi éviter de terminer à la dernière place.»

NICOLAS TOUSSAINT